Ligne Maginot - La SALMAGNE (Ouvrage d'infanterie)



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La SALMAGNE

( Ouvrage d'infanterie )


L'ouvrage est ouvert au public









Secteur Fortifié
SFMA - SF Maubeuge

Sous Secteur
Hainaut

Quartier

Maître d'ouvrage
MIL - CORF

Constructeur
Entreprises civiles

Année
1935

Commune
VIEUX RENG (59600)

Lieu-dit / Parcelle
Fort de la Salmagne

Coordonnées
50.323385 - 4.018716

Validité information
Verifié

Niveau de réalisation en 1940
Construit

Etat actuel
Incomplet





Notes et informations



ARMEMENT, Artillerie

La tourelle était destiné en 1914 à l'ouvrage du Fagné en 1914 sous le n° 62, d'un marché Chatillon-Commentry.
Non montée, elle le sera sur la Salmagne sous le numéro 562.
Source(s) :
Florian Garnier



ARMEMENT, Infanterie

Bloc 1:
- 1 tourelle à 2 armes mixtes n° 562
- 1 cloche GFM type B
- 2 cloches pour armes mixtes
- 2 créneaux FM 24/29


Bloc 2 :
- 1 créneau pour jumelage de mitrailleuses Reibel ou canon de 47mm AC
- 1 créneau pour jumelage de mitrailleuses Reibel 1
- 2 cloches GFM type B, dont une équipée d'un périscope J2 (S-Lt LOUIS)
- 1 cloche lance grenade, non équipée en 1940.
- 4 créneaux FM 24/29

Pour plus d'infos sur la tourelle d'arme mixte, voir la partie Dico du site.


ARMEMENT, Observation

L'une des cloches GFM du bloc 2 est équipée d'un periscope J2 pour l'observation d'artillerie.


CONSTRUCTION, Cout

Le cout de construction de l'ouvrage est de 6,2 Mio Fr


CONSTRUCTION, Description

Le PO de la Salmagne est construit sur l'emplacement de l'ouvrage intermédiaire Séré de Rivière de la Salmagne

Il s'agit d'un Petit Ouvrage (ouvrage d'infanterie à deux blocs reliés par une galerie souterraine. Le premier bloc est un bloc cuirassé avec une tourelle d'arme mixte et le secon bloc, une casemate d'infanterie simple.
L'entrée de l'ouvrage se fait par le bloc 2, le bloc 1 étant muni d'une sortie de secours.
Les locaux souterrains comprennent le PC, un casernement et une usine electrique


CONSTRUCTION, Fresques ou peintures, grafitis

L'ouvrage est orné de fresques peinte par le caporal-chef LADUREAU


EFFECTIF, Commandement et/ou unité

L'effectif théorique de l'ouvrage de la Salmagne est de 97 hommes et 3 officiers originaires du 87° RIF (103° CEO)

Cdt de l'ouvrage : Cne BRICHARD
Médecin : Médecin-lieutenant DUBOIS
Adjudant d'ouvrage : Adj Gaston LHOSTE

Bloc 1 :
Cdt le Bloc : Lt Georges PASQUESOONE
Sgt MORVAL Odilon, Chef de tourelle
Cal Emile RIGOT, tourelle AM
Cal Paul PONCET, tireur AM de tourelle
Soldats Jules DARRE, pourvoyeur AM de tourelle
HANOTEAU , servant tourelle
MAGNIEZ Louis de Jeumont, servant FM

Bloc 2 :
Cdt le Bloc : Lt Pierre BASTIEN
CC DIERICKX de Hautmont, servant canon de 47 (tué à son poste le 22 mai)
Cal CATY Odon
BIASOTTO Angélo

Observateur d'artillerie : S-Lt Paul LOUIS

Génie - 3° RG :
Cdt le Génie : Cne Maurice AMIOT (rejoint l'ouvrage le 17 Mai et officiera comme adjoint du Cne BRICHARD).
SC FARDOUX , adjoint au Cdt du génie
LETERTRE René

Affectation non connue:
CC LADUREAU
Source(s) :
SHD - JMO du 87° RIF - Annexe sur les combats de la SALMAGNE
Le journal de la Salmagne
Divers


Dans l'ouvrage, les hommes provenant de plusieurs régiments travaillaient ensemble, le 87° RIF pour l'infanterie mais aussi des spécialistes comme le 161° RAP pour l'observation d'artillerie, le 3e régiment du Génie pour les installations électromécaniques et le 8e régiment Génie pour les transmissions (Radio et téléphone).


EQUIPEMENT, Electrique

L'usine était équipée de 2 groupes électrogènes CLM type 308 de 75CV et d'un groupe auxiliaire à moteur CLM 1PJ65


ETAT ACTUEL , Etat - utilisation actuelle

L'ouvrage a été ferraillé par les Allemands sous l'occupation. Tous ses cuirassements ont été récupérés.

Il est actuellement sauvegardé par une association et ouvert au public.


HISTORIQUE, Chronologie

Pendant la bataille de France, les ouvrages et casemates au nord-est de Maubeuge sont attaqués par l'arrière : les forces allemandes ont percé plus au sud près de Solre-le-Château dès le 16 mai 1940 (par la 7. PzD) et la ville de Maubeuge est prise le 18 mai (par la 28. ID).

Du 10 au 16 mai 1940 : les troupes de renforcement étant parties, l'ouvrage et la CEO constituent de nombreux petits groupes de sortie pour faire des travaux (réseau barbelé autour de l'ouvrage par exemple), reconnaissances extérieures et surveillance de frontière, décoffrer des blocs en chantier, etc...

15 mai 1940 : l'aviation ennemie bombarde l'aérodrome militaire à côté de la ferme de la Salmagne. Plusieurs avions de chasse sont détruits au sol. Le personnel de l'ouvrage vient en aide aux nombreux blessés.

16 mai 1940 : journée calme à l'ouvrage. Le I/87° RIF signale cependant que des motocyclistes d'avant-garde allemands ont été signalés à Beaumont, devant le 84° RIF.

17 mai 1940 : amorçage des champs de mines et mise en place des barrages de route.

18 mai 1940 : le front du 84° RIF a été percé, et la 101° CEO signale que la casemate d'OSTERGNIES est prise à partie par l'arrière. Dans la journée, l'ouvrage apprend que l'ennemi est dans Maubeuge. Les premiers renseignement reçus de la 101° CEO sur le mode d'attaque des ouvrages par les Allemands permettent au Génie de l'ouvrage de commencer le renforcement des créneaux de chambres de tir. L'ennemi approche de Boussois par le faubourg d'Assevent, en arrière.

19 mai 1940 :
Perte de liaison avec le I/87° RIF et la DIF du fait de la prise du central du fort Leveau.
Nous lisons au "Journal de la Salmagne" que l'attaque allemande lancée sur l'ouvrage de Boussois redouble de vigueur. Malgré les précisions sur le gisement des pièces ennemies que nous donnons, nos demandes de tirs à la DIF (Division Infanterie de Forteresse) restent sans effet .
C'est en fait qu'à cette heure-là, nous le savons, le fort de Leveau est aux mains de l'ennemi et les deux sapeurs télégraphistes DELALAIN et LELEU ont été tués.
L’ouvrage est attaqué par des Stukas lachant leurs bombes en piqué (point à confirmer car le JMO de l'ouvrage n'en fait pas mention et ne parle de bombardements aériens qu'à partir du 20).

Journée du 20 mai :
La Salmagne intervient encore sur les deux rives de la SAMBRE malgré les attaques en piqué des Stukas .

21 mai 1940 :
Le commandant de l'ouvrage de Boussois appelle à nouveau au secours. Il demande des tirs sur la batterie de l'Epinette, sur le Bois Carré et sur la cote 146,3. Cet appui de feu lui est fourni sans délai.
Ce jour-là, comme la veille, la Salmagne subit l'assaut des Stukas et c'est sous les bombes des avions que les tirs de harcèlement continuent jusqu'au soir sur les troupes qui investissent Boussois.

Journée du 22 mai :
La pression ennemie s'accentue, l'ouvrage de Boussois s'est rendu ainsi que la casemate de l'Epinette.
La chute de ce dernier ouvrage a entrainé l'abandon de la Casemate STG du bois d'Elesmes. Cette casemate commandé par le Lieutenant PETOT , était un ouvrage inachevé , sans trémies et sans portes.
Un homme de son équipage James DELORME , y a été tué à son poste de DCA le 19 mai.
Les Allemands montent maintenant vers le nord et une section de mortiers de 105 mm, profitant de l'abandon de la casemate du Bois d’Elesmes s’installe à 1 300 mètres aux lisières du Bois d'Elesmes, hors de portée des armes de la Salmagne et tire à vue sur le bloc 2 de l’ouvrage
Les projectiles tombent obliquement sur l’embrasure du canon de 47 mm AC, la trémie est enfoncée.
Le Caporal-Chef François DIERICKX, de Hautmont, est tué à son poste au canon de 47 mm. Le Caporal Odon CATY et le soldat Angélo BIASOTTO sont blessés.
Après un pansement sommaire BIASOTTO demanda à reprendre sa place au fusil-mitrailleur.
Le commandant de l'ouvrage fait aussitôt procéder à la remise en état du créneau de la chambre de tir démoli.
Sous les obus qui ne cessent d'ébranler le bloc 2 on apporte un blindage et avec des sacs de ciment, le lieutenant BASTIEN , le capitaine AMIOT et son adjoint le sergent-chef FARDOUX s’efforcent d'édifier un mur protecteur derrière l'embrasure béante... mais cet obstacle est à peine ébauché qu'un nouveau projectile ricoche dans la brèche, renverse les travailleurs et met en pièces le canon de 47mm.
Cette fois, personne n'est gravement atteint mais l'armement est hors d'état de servir.
Pendant qu'à l'Est de l'ouvrage ces incidents se déroulent, une batterie de canon antichars se positionne au nord du village d’Elesmes à 1 000 mètres à peine et s'attaque aux entrées de l'ouvrage.
La tourelle à éclipse n'a pas eu le temps de repérer ce nouvel objectif que déjà la caponnière du fossé diamant est défoncée, un second obus descelle la trémie du fusil-mitrailleur et la projette à l’intérieur du bloc 1.
" Le servant du F.M Louis MAGNIEZ de Jeumont n’a, par miracle, pas été atteint dit le Capitaine BRICHARD. Il continue de tirer par ce mur démantelé et quand son arme encrassée par les débris de ciment ne fonctionne plus, je dois l’obliger à s'abriter pour la remettre en état ... "
Quelques minutes plus tard, un coup de 105 arrache la grille d'entrée du bloc 2, défonce le créneau de défense rapprochée du couloir et pénètre dans le puit de service.
L 'ascenseur est inutilisable, la chambre de tir ou tout est bouleversé est devenue inhabitable, la ventilation et l'éclairage ne fonctionnent plus .
Dans l'obscurité et parmi les gravats et blocs de béton détachés des parois, on essaye de se défendre encore. Mais les périscopes sont brisés, les dernières armes de cloche ne jouent plus dans leurs rotules et la fumée qui n'est plus refoulée à l'extérieur descend jusque dans les galeries.
Vers 15 H 00 , le commandant de l’ouvrage fait replier ses hommes par le souterrain sur le bloc 1 que défend le lieutenant PASQUESOONE et où les vivres et les blessés ont été transportés .
La résistance continue ...
La ventilation de ce bloc est elle aussi rapidement détruite et les fumées commencent à envahir les chambres de tir et les couloirs. Le masque au visage, les hommes se battent dans un brouillard opaque.
Pendant ce temps, l'ennemi pris possession des dessus du bloc évacué et son artillerie s'est rapprochée.
Six pièces d’artillerie concentrent maintenant leurs tirs sur la tourelle qui crache de tous ses tubes à chacune de ses apparitions et fait des ravages dans les rangs des assaillants.
Cette tourelle, atteinte de plein fouet, est déjà en difficulté quand une énorme explosion se produit. Les pionniers allemands ont réussi en rampant à s'approcher du cuirassement et l'ont fait sauter avec 3 kilos de tolite ( renseignement donné par le capitaine qui commandait la compagnie d'assaut allemande).

Le caporal PONCET et les servants DARRE et HANOTEAU sont blessés , le sergent Odilon MORVAL est lui grièvement atteint.

C'est alors que le médecin-lieutenant DUBOIS fait savoir que faute de ventilation l'asphyxie menace de toutes parts .

A 22h20, l’ouvrage privé de ses armes et menacé d’asphyxie se rend aux troupes allemandes, qui rendent les honneurs aux défenseurs lors de leur sortie du B2.
Source(s) :
SHD - JMO du 87° RIF - Annexe II: rapport du Cne BRICHARD (103° CEO)
Fort de la Salmagne - le Journal de la Salmagne
Transcription initiale Dylan Sprimont



HISTORIQUE, Construction

L'implantation d'ensemble de l'ouvrage est définie par la DTF de Valenciennes le 13 Juillet 1934 (dossier 59/S).

Le plan d'implantation particulier et dossier technique du B2 sont les premiers à être examiné. Ils sont diffusés le 16 Octobre 1934 (dossier 17/S de la DTF Valenciennes). A l'examen, il est demandé :
- de simplifier le cloisonnement intérieur et le nombre de portes blindées et/ou étanches, jugés inutilement complexe.
- de désaxer les deux créneaux JM de 5° en sens opposé pour augmenter le champ de tir à 55° total, conformément à une note ITTF du 13 Décembre 1934 sur la protection des obstacles antichar à proximité des mitrailleuses sous béton.
- en cohérence avec l'examen des locaux souterrains qui a lieu en même temps, de supprimer le central téléphonique secondaire installé dans le bloc, le central principal du casernement étant proche et suffisant. Le central associé à l'observatoire (cloche J2) est lui maintenu.
- l'installation de deux postes récepteurs dans le bloc (et d'un émetteur dans le futur B1) avec locaux correspondants suite à une recommandation de la CORF pour l'ouvrage, postérieure à l'émission du dossier. En réalité l'examen ultérieur du bloc 1 entrainera un changement de décision, l'émetteur étant ramené dans le Bloc 2 et les deux récepteurs transférés dans le B1, le tout pour des questions de facilité de positionnement d'antennes.
Le projet amendé est approuvé par DM 253 2/4-S du 14 Janvier 1935. A cette date, les projets de ventilation, d'éclairage, etc, sont encore suffisamment flous pour que la Direction du Matériel du Génie refuse de se prononcer sur la puissance électrique totale nécessaire. Elle préconise que ce point fasse l'objet d'une étude ultérieure quand le projet sera mieux précisé.

Les plans de détails des locaux souterrains sont définis dans le dossier 23/S du 19 Octobre 1934. Ces locaux sont approuvés par DM 7635 2/4-S du 23 Novembre 1934 moyennant la prise en compte d'un certain nombre de commentaires :
- amélioration de la défense intérieure en ajoutant dans la galerie vers le bloc 1 un dispositif de mine et une porte blindée pour parer à une entrée ennemie par l'issue de secours du bloc.
- la STG suggère de supprimer le central téléphonique secondaire du bloc 2 et propose un schéma téléphonique simplifié.
- L'égout de l'ouvrage passe sous le fossé de l'ancien ouvrage Séré de Rivières, créant ainsi une zone moins protégée. Le mode de protection renforcée (dalle d'éclatement au dessus de l'égout ou construction en béton dans cette zone) devra être précisé.
- Les réserves d'eau - sous-dimensionnées - doivent être corrigées ainsi que certains aspects de la ventilation des locaux.

Le plan d'implantation particulier et dossier technique du B1 sont émis le 7 Février 1935 (dossier 199/S de la DTF Valenciennes). A l'examen, il est demandé :
- d'ajouter, pour améliorer la couverture de BERSILLIES, un deuxième créneau à la cloche AM Ouest, à gauche du premier et de renforcer l'appui de cette cloche à l'étage inférieur.
- de déplacer le PC, jugé trop proche de la ventilation dont le bruit gênerait son opération. Sa position est intervertie avec celle du réservoir d'eau.
- de renforcer l'étanchéité de l'issue de secours
- de modifier la position de l'antenne radio et le cheminement de son cable jusqu'au local TSF, qui contiendra dans ce bloc que des postes récepteurs.
Le projet amendé est approuvé par DM 3117 2/4-S du 19 Avril 1935.

Le marché de la construction est daté du 5 novembre 1934 - en même temps que celui de BERSILLIES - pour un montant prévisionnel de 6.222.00 F. Les travaux réels ne débutent qu'au mois de Mars 1935, l'hiver ayant été simplement limité à de la préparation de chantier (1).

Le marché de fourniture et montage de l'usine est approuvé le 4 Aout 1935 et passé le 28 Décembre 1935. Le marché de réalisation des installations électriques est approuvé le 29 Juillet 1936 et passé le 18 Novembre 1936. Celui relatif à l'installation de la ventilation est approuvé le 26 Aout 1936 et passé le 28 Décembre 1936. Ces trois marchés d'équipement sont communs à tous les ouvrages nouveaux-fronts du Nord.

Fin Juin 1937, le gros-œuvre est pratiquement achevé (95% avancement). Toutes les trémies et un partie des cloches sont en place, sans aucun armement cependant. La tourelle pour 2xAM est déjà installée, comme l'ensemble des portes blindées et grilles d'accès.

Dans l'ouvrage, les travaux avancent. Les portes intérieures, lits et tables sont installées, et les latrines sont opérationnelles. La cuisine n'est cependant pas installée. La centrale est opérationnelle et les travaux de réseau électrique ont tout juste débutés, pour un achèvement prévu en fin d'année. Les travaux de ventilation et de transmissions ont débuté eux aussi.

La fin de construction de l'ouvrage est planifiée pour le 1er Octobre 1937. (2)
Source(s) :
SHD 2V244
SHD 7N3795 (1)
SHD 9NN4423 (2)


C'est l'entreprise de construction Batignolles qui a obtenu le marché pour la construction de l'ouvrage de la Salmagne . Celle ci commencera dès 1935 pour s'achever en 1938 .


Contact et infos touristiques :


Organisation ou association en charge de ce site


Petit ouvrage d'infanterie à 2 blocs de combat reliés à 30 mètres sous terre par un couloir où l'on trouve le casernement.
Site se trouvant sur la RD28 à VIEUX-RENG.

Informations pour la visite

Dates d’ouverture en 2022

Ouvert le 3ème dimanche de chaque mois de mars à octobre
de 9 à 11H00 et 13H30 à 16H00.

Ouvert le samedi du 3ème WE de septembre pour le Patrimoine.

Possibilité de visite le samedi, mais avec un minimum
de 5 personnes ou dans la semaine pour les écoles, centres aérés, etc, uniquement sur RDV.

S'adresser à: Monsieur LOIRE Alain
alain.loire59@gmail.com
+33 6 74 74 84 37
Informations touristiques mises à jour le 15/04/2022






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