Ligne Maginot - GONDRAN E (Ouvrage d'infanterie)



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GONDRAN E

( Ouvrage d'infanterie )


L'ouvrage est ouvert au public









Secteur Fortifié
SFD - SF Dauphiné

Sous Secteur
Haute Durance, Cerveyrette

Quartier
Gondran - Aittes

Maître d'ouvrage
MIL - CORF

Constructeur
MOM

Année
1935

Commune
CERVIERES (05100)

Lieu-dit / Parcelle

Coordonnées
44.893144 - 6.720337

Validité information
Verifié

Niveau de réalisation en 1940
Construit

Etat actuel
Complet





Notes et informations



ARMEMENT, Spécificités

Le bloc 3 de l'ouvrage du Gondran E devait initialement être doté d'une cloche GFM classique, qui est remplacée - par économie - en 1935 par une cloche conçue et implantée sur l'ouvrage fortifié de Héron-Fontaine (secteur de Maubeuge) vers 1890-1892 qui fut récupérée lors du démantèlement de cet ouvrage.

L'étude du champ d'observation de l'ouvrage faite par la DG de Grenoble en Décembre 1935 conclut à la nécessité d'assurer un site négatif maximal de -15°.

Cette cloche "Héron-Fontaine" est finalement refusée par le service électromécanique du Génie (note SEMG 322/S du 2 Mars 1936) pour deux raisons :
- il ignore la composition du métal et donc le degré de protection réel de ladite cloche.
- la cloche ne pourra pas assurer un site négatif maximal nécessaire de -15°, même moyennant modification.

Il lui est finalement préféré une cloche Digoin, elle-même récupérée sur le fort de Boussois à Maubeuge puis envoyée chez Delattre & Frouard à Ferrière-la-Grande pour ré-usinage des créneaux de sorte à permettre un site d'observation négatif de -15°.

Il en ira de même avec le jumelage de mitrailleuses Reibel MAC 31 initialement prévu qui fut remplacé par un créneau de tranchée en fonte conçu pour une mitrailleuse Hotchkiss 8mm mle 1914

La cloche Héron-Fontaine sera finalement utilisée pour équiper l'observatoire du Tattenholz au sud de Teting sur Nied
Source(s) :
SHD - 2V270



CONSTRUCTION, Cout

Le décompte réalisé par la chefferie de Briançon à fin 1938 relève une dépense cumulée de 1.642.000 F, et un "reste à faire" de 320.000 F. Ces chiffres n'intègrent pas armement ni munitions.
Source(s) :
SHD - carton 7N3847



CONSTRUCTION, Description

L'ouvrage du Gondran E est un ouvrage d'infanterie à cinq blocs de conception CORF, construit par la MOM

Bloc 1 : Entrée
L'emprise du bloc est de 100 m2 pour une épaisseur protectrice de 2m50.
Son armement est le suivant :
- 1 cloche GFM (Fusil mitrailleur et mortier de 50)
- 1 créneau pour jumelage de mitrailleuses Reibel MAC 31, orienté vers la cote 2232 et les AITTES (que l'ouvrage ne voit pas).
- 1 créneau pour Fusil Mitrailleur 24/29
- 2 créneaux pour Fusil Mitrailleur sur porte blindée.
- 2 goulottes à grenades.
Le bloc flanque en direction du versant sud du Chenaillet et de la replate du Lac Noir.

Bloc 2 : Casemate d'infanterie
L'emprise du bloc est de 10 m2 pour une épaisseur protectrice de 1 m. L’accès intérieur au bloc est protégé par une porte blindée.
Son armement est constitué d'une mitrailleuse de campagne (Hotchkiss) remplaçant le jumelage de mitrailleuse Reibel initialement prévu mais non monté.
Il tire pratiquement frontalement sur le plateau des sources de la Durance, dans l'axe du Chaberton.

Bloc 3: Observatoire
L'emprise du bloc est de 30 m2 et l'épaisseur protectrice est de 2 m à 2m50. Il est équipé d'une cloche Digoin grand modèle prélevée sur l'ouvrage de Boussois (n° 172 mise en place en 1914) en remplacement de la cloche GFM rejetée et d'une cloche type Héron-Fontaine rejetée elle aussi.

La mission du bloc est l'observation des 3 axes de pénétration que sont les cols de Gimont, Bousson et Chabaud.

La base du B3 contient une amorce de galerie vers ce qui aurait dû être un autre bloc de combat (B4) armé d'une cloche pour arme mixte. La galerie a été laissée brute de déroctage – Les travaux ne seront jamais achevés par manque de crédits.

Bloc Cheminée
Ce 'bloc' réduit à sa plus simple expression est constitué de trois tuyaux métalliques servant à l'évacuation des gaz du groupe électrogène et des fumées de la cuisine et du poêle de chauffage.

Bloc 5 : Sortie de secours
L'emprise du bloc est de 15 m2 et il ne possède ni armement ni cuirassements.


DENOMINATION, Dénominations alternatives

Le numéro d'abonné de l'ouvrage du Gondran E au réseau téléphonique de la fortification Maginot était O 374


EFFECTIF, Commandement et/ou unité

L'équipage de l'ouvrage était principalement issu du 72° BAF.
Il se composait d'un officier, d'un médecin lieutenant et de 42 hommes

Cdt d'ouvrage : Adj DOUILLARD (décembre 39) puis S Lt GANDEMER en 1940


EQUIPEMENT, Divers

Le chauffage de l'ouvrage était assuré par une chaudière au charbon et des radiateurs à circulation d'eau.


EQUIPEMENT, Electrique

L'ouvrage est alimenté en électricité par un groupe électrogène à moteur CLM 208. L'électricité est utilisée pour l'éclairage et la ventilation. Ce CLM a clairement été installé après guerre lors de la remise en fonction de la LM car le relevé de situation de l'ouvrage fait en 1946 ne mentionne qu'un unique CLM 1PJ65 avec alternateur ATG5 triphasé de 5 kVA.

A noter que cette installation du CLM 1PJ65 est de décision tardive puisqu'en fin 1937, l'ouvrage est toujours considéré "sans usine ni réseau électrique" et que la ventilation se fera à bras. En cela il n'est pas différent de nombreux petits ouvrages d'infanterie de haute altitude.


EQUIPEMENT, Hydraulique

L'alimentation en eau de l'ouvrage est assuré par captage d'une source sur la replate des Gondrans
Le stockage est assuré par une citerne de 9500 litres et un réservoir de 1300 litres


EQUIPEMENT, Transmissions

L'ouvrage était doté d'un central téléphonique composé d'un panneau mural TM 32 pour 32 abonnés et d'une table opérateur TM 32 à 14 circuits.

L'ouvrage était doté d'un poste émetteur récepteur ER 50

Comme dans toutes les chambres de coupures, centraux et ouvrages de ce secteur, l'installation téléphonique a été refaite après guerre et ne correspond plus à celle d'origine.
Seuls les boitiers ont été en partie réemployés.


ETAT ACTUEL , Etat - utilisation actuelle

2013 - L'ouvrage du Gondran E est toujours propriété de l'Etat Défense.
Les autorités militaires l'ont confié à une Association,
A LA DECOUVERTE DE LA FORTIFICATION ALPINE DE VAUBAN A MAGINOT
qui bénéficie d'une Autorisation d'Occupation Temporaire renouvelable tous les 4 ans.


HISTORIQUE, Chronologie

L'ouvrage du Gondran E ne joua aucun rôle marquant pendant la campagne de juin 1940.


HISTORIQUE, Construction

Du fait de restrictions budgétaires (transferts vers les 'Basses-Alpes' et le secteur fortifié des Alpes-Maritimes), le gros ouvrage d'artillerie prévu à l'origine ne verra jamais le jour.

1933 :

La 14° Région Militaire (RM) se faisant fort de construire un ouvrage d'infanterie à cet endroit par la MOM, l'ouvrage Est du GONDRAN - destiné à assurer une liaison d'infanterie entre le JANUS et les AITTES - est rajouté par l'EMA par additif de fin mars 1933 au plan de travail MOM pour 1933 approuvé en Février. L'ouvrage se situant sur la ligne principale de résistance, c'est cependant la CORF qui en définit les contours, le plan général et le financement. N'ayant pas prévu de budget pour cet ouvrage, un compromis est trouvé avec la 14° RM, qui tient fortement à la construction de l'ouvrage.

Dans sa version initiale, la CORF estime le cout total de l'ouvrage à 450.000 Fr, entrainant la nécessité d'allocation d'un budget pour 1933 de 240.000 Fr, qui sont alloués d'emblée. La réalité rattrape vite les décideurs puisque l'estimation suivante basée sur l'avant-projet change totalement la donne...

Le projet d'implantation de l'ouvrage dans sa forme présente est émis par la Délégation Locale de Briançon le 24 Juin 1933 (projet 886/S), alors que le chantier - fort de l'approbation de Mars - a déjà débuté depuis le 1er Juin. Il prévoit une entrée active (feux par JM vers la cote 2232), une casemate pour JM frontale vers les sources de la Durance, et un bloc d'observation avec cloche GFM. Par mesure d'économie, le bloc d'observation/GFM est initialement privé de sa cloche, servant juste d'accès à un poste de tir pour FM extérieur. La nature frontale du bloc vers les sources de la Durance - en vue directe du Chaberton ! - nécessite la protection n°3 et la confection d'une visière de protection importante. L'accès se fait de plain-pied à l'étage inférieur du bloc. De son côté, l'entrée est en arrière dans l'axe de la galerie principale, et accède à celle-ci par un court escalier rectiligne. Cette entrée intègre le 2e JM de l'ouvrage, tourné en flanquement droit vers la cote 2232. La galerie rectiligne de l'ouvrage est prolongée sous l'entrée par la galerie de sortie de l'égout (qui servira en fait de galerie d'attaque des travaux et finalement de galerie d'issue de secours...). Le projet dans sa version complète est évalué à 1.350.000 Fr (même 1,5 millions si on met une cloche JM dans la bloc frontal à la place du simple créneau), mais par prudence, le Génie propose en parallèle une alternative "minimale"... ou le GONDRAN E n'est qu'un simple abri desservant des position extérieures dans un 1er temps, pour un montant réduit à 600.000 Fr.

L'ouvrage est amorcé par la MOM pour la partie la moins technique, à savoir le gros œuvre souterrain et les blocs les plus simples (programme minimum défini dans le projet, pour 600.000 Fr dont 240.000 au titre de 1933, approuvé par DM 2172 3/11-1 du 24 Juillet 1933).

1934 :

1934 est essentiellement dédié au roctage des galeries souterraines. A la fin de la campagne, la grande galerie rectiligne et ses locaux annexes sont achevés et partiellement revêtus, principalement du côté des locaux Usine (approfondis au passage) et de la cuisine. La galerie vers le bloc observatoire est en cours de roctage, comme le puits de ce bloc et celui de la cheminée. En octobre, le Génie de Briançon propose le projet technique de la cheminée et du bloc d'Entrée. Concernant ce dernier, l'étude de détail a montré la situation défavorable du bloc initialement prévu relativement bas et au-dessus de la galerie de chantier (future IS). Le bloc ne peut pas croiser ses feux avec le bloc observatoire/GFM sauf à réaliser des délardements considérables, et la couverture proche, ainsi que de la cote 2232 par le jumelage est insuffisante.

Après examen sur le terrain, le Col MARTIN, directeur du Génie de Briançon, propose en Octobre 1934 une alternative visant à positionner le bloc 6 à 8 mètres plus haut et légèrement à gauche de l'axe de l'ouvrage pour lui donner un meilleur commandement et une meilleure vue vers l'observatoire. Ce changement implique un surcout de l'ordre de 70.000 Fr car il faut créer une nouvelle galerie permettant de connecter le bloc à la galerie rectiligne de l'ouvrage, déjà existante... Ce surcout est absorbé par des économies faites sur les cuirassements de ce bloc, qui avaient été surestimés.

Par contre plus globalement le devis de l'ouvrage augmente du fait d'autres sous-estimations, notamment sur le chemin d'accès, sur le cout du bloc cheminée, et du fait de la nécessité de déplacer le local pour munitions Stokes vers la nouvelle galerie de l'entrée (ce qui ne sera pas fait car... les locaux "Stokes" sont déjà percés !). La direction locale est donc invitée à fournir un nouveau projet technique de l'Entrée tenant compte de tous ces points. La question de l'équipement de l'ouvrage en filtres contre les gaz, pourtant initialement rejetée du fait du risque faible, revient sur la table.

1935 :

Le budget de travail pour 1935 de l'ouvrage est le prétexte d'une passe d'arme entre la 14° Région Militaire (responsable des travaux MOM), le Génie central (4° Direction) et la CORF en tant que maitre d'ouvrage. Début 1935, il est prévu de dépenser 660.000 F sur l'année courante pour la poursuite de construction de l'ouvrage sur la base en cours (locaux souterrains, entrée et cheminée), or le budget disponible restant est de 270.000 Fr. Le Gal DOSSE, commandant la 14° RM décide donc que le budget MOM pour l'ouvrage (classiquement tiré de la ligne "Instruction Générale de l'Armée" !) sera de 190.000 F en 1935 et 80.000 F en 1936. A la demande de la 4° Direction qui s'étonne d'un tel écart, DOSSE répond que comme GONDRAN E (nommé alors GONDRAN Est) est un ouvrage CORF, c'est à la CORF de fournir le complément qui manque à partir de ses budgets spéciaux… Le Gal BELHAGUE a beau jeu de répondre que cette question a déjà été tranchée par l'état-major de l'armée en 1933 et que la totalité du cout doit être pris en charge par la région militaire au titre des travaux MOM… Il rajoute que de toute façon les budgets CORF encore disponibles pour le sud-est fondent comme neige au soleil et qu'il serait - avec toute la bonne volonté du monde - dans l'incapacité de fournir un tel budget sauf à ce qu'on lui prescrive ce qu'il y a lieu d'ajourner à la place… Après quelques aller-retours entre Lyon, la CORF et le Génie, l'EMA finit par trancher et donner raison à la CORF contre la 14° Région Militaire en confirmant les décisions déjà prises. L'ITTF est néanmoins priée d'investiguer quelles sources d'économies et quelles priorisations de travaux pourraient être faites sur le projet pour rentrer dans l'enveloppe disponible. Le verdict de cette Inspection tombe un mois plus tard :

- ajournement de la construction du bloc d'entrée et de sa nouvelle galerie. La galerie de service doit être convertie en entrée non protégée provisoire. Elle fera office d'issue de secours lorsque l'ouvrage sera achevé.
- réduction de la cheminée à un simple groupe de tuyauteries émergeant à l'air libre sans protection.
- remplacement du bloc "Durance" par un simple local sous roc frontal, de 1,25m d'épaisseur, avec trémie type Bizerte/14° RM (comme pour les AP) pour mitrailleuse Hotchkiss
- ajournement de l'installation électrique, de l'usine et de la ventilation mécanisée qui devra être remplacée par une ventilation à bras. L'ameublement est réduit à minima, ainsi que la distribution d'eau, réduite aux réservoirs intérieurs sans réseau.
- suppression de la TSF : on fera avec un poste de campagne fourni par la troupe d'occupation
- remplacement de la cloche GFM de l'observatoire par une cloche de récupération d'avant 1914 (il y en a en stock à Digoin...), et simplification/minimisation du bétonnage. Ceci permet de passer le cout de ce bloc de 257.000 Fr à 70.000 Fr.

Par contre on confirme la réalisation des aménagements extérieurs (réseau, délardages...).

Ces modifications majeures sont approuvées en Mai 1935 par l'EMA.

Par ailleurs, la galerie d'accès au bloc frontal - alors simplement rectiligne - est modifiée et équipée d'une chicane par crainte qu'un obus "heureux" passant par l'embrasure frontale ne vienne exploser en plein cœur du casernement. La galerie de service sera munie d'une entrée réduite temporaire qui servira de simple issue de secours après l'achèvement de l'entrée officielle.

Toujours par mesure d'économie, la cloche GFM initialement prévue sur l'observatoire se voit remplacée (DM 4058 2/4-S du 21 Mai 1935) par une cloche récupérée de l'ère Séré de Rivières. Ce n'est que 9 mois plus tard, en Février 1936, que le choix se porte sur la cloche spéciale récupérée sur l'ouvrage de Héron-Fontaine à Maubeuge, elle-même finalement remplacée par une cloche Digoin à créneaux réusinés (voir chapitre "Spécificités"). Dans la même logique d'économie à tous prix, le projet de ventilation conçu en début 1935 ne prévoit qu'une ventilation à bras, récupérant des ventilateurs allemands extraits des fortifications de la ceinture de Strasbourg par la chefferie locale (ces même ventilateurs de 2e main en stock seront utilisés dans les avant-postes).

1936 :

La détente temporaire avec l'Italie entre 1935 et mi-1936 met ensuite un arrêt sur les chantier des Alpes, mais celui de GONDRAN E échappe à cette disette. La poursuite de la construction de l'ouvrage (coulée des blocs manquants et aménagement intérieur) est passée par marché à la société privée PEDROLETTY de Gap, qui a déjà le marché de parachèvement de l'ouvrage du JANUS. L'automne 1936 voit la coulée du bloc d'entrée actif et de l'observatoire.

1937 :

Les travaux d'aménagement se poursuivent. Le 14 Novembre 1937 on procède à la mise en place des deux cloches (GFM et Digoin) dans leurs blocs respectifs. L'ouvrage n'est toujours pas armé, mais courant décembre, la 14° Région Militaire demande l'autorisation de récupérer une mitrailleuse Hotchkiss au parc régional de Grenoble pour équiper enfin le bloc 2.

Fin 1937, l'ouvrage n'est considéré achevé qu'à 50%, mais le gros-œuvre est finalisé, incluant l'essentiel du réglage des dessus et du raccordement des blocs au terrain. L'équipement en second œuvre intérieur (lits, portes, …) est réalisé à 80%, par contre aucun cuirassement intérieur (portes blindées d'entrée...) n'est en place, ni la ventilation à bras, ni les transmissions ou les armements. A ce stade, l'ouvrage est considéré comme utilisable comme simple abri alpin pour une section, et la centrale et l'alimentation électrique ne sont toujours pas prévus.

Fin 1938, la chefferie de Briançon estime que l'ouvrage est achevé à 70%. La ventilation dont le projet a été validé début 1935 n'est installée qu'à 20% et l'armement et munitions à 40%. Les transmissions sont à peine entamées. Les dessus restent à équiper de réseaux.

L'ouvrage sera considéré comme pratiquement achevé en 1940 à l'exception de son armement initial partiellement remplacé par des matériels de récupération faute de crédits.

Rédaction initiale : Pascal LAMBERT. complété par Jean-Michel JOLAS pour la période 1933-1940
Source(s) :
SHD - carton 7N3847, 2V270, 6V11313bis, 9NN4423, 9NN4447, 7N3846



SOURCES, Bibliographie ou documents de réference

Base MERIMEE, ref IA05000146


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