Le 155° Régiment d’Artillerie à Pied (RAP) est recréé le 1er août 1919 à Strasbourg. Constitué de batteries issues de divers régiments dissous, il hérite du drapeau et des traditions du 5° Régiment d’Artillerie à Pied, dissous au même moment.
Placé sous le commandement du Col WASSER à sa création, le 155° Régiment d’Artillerie à Pied (RAP) est organisé en quatre groupes, composés chacun de trois batteries, numérotées de 1 à 12.
Les batteries n° 1 à 6 constituant le 1° et le 2° groupe sont issues du 160° Régiment d'Artillerie à Pied. Elles sont stationnées à Strasbourg dans les quartiers ESNON et ROUSSEAU. L’armement du 1° groupe se compose de canons de 120 et de 155 à traction hippomobile, tandis que celui du 2° groupe comprend des canons de 145/155 à traction automobile.
Le 3° groupe, comprenant les batteries n°7, 8 et 9, est issu du 175° Régiment d’Artillerie de tranchée. Il est équipé de canons de tranchée de 250.
La 7° batterie est chargée de la gestion du dépôt de munitions et de la récupération de matériel à Sundhoffen (Haut-Rhin).
La 8° batterie est mise à disposition du commandant de la place de MULHOUSE (Haut-Rhin).
La 9° batterie tient garnison à Noidans-les-Vesoul (Haute-Saône) et est affectée au dépôt de munitions de Vaivres, près de Vesoul.
La 10° batterie est positionnée à Laon et Barenton-sur-Aisne (Aisne).
La 11° batterie est détachée à Mutzig pour des opérations de récupération de matériel de guerre dans les Vosges
La 12° batterie est stationnée au camp de Valdahon.
Les batteries n°7, 8 et 9 quittent leurs affectations respectives pour rejoindre le régiment à Strasbourg, où elles s’installent à la caserne Vauban. Pendant ce temps, le personnel des 1°, 2° et 3° groupes suit une formation sur les canons allemands de 105 mm sous tourelles, dans les anciens ouvrages fortifiés allemands situés aux environs de Strasbourg.
En mars 1920, la 9° batterie, sous le commandement du Lt DUBRULLE, est détachée au Fort de Mutzig , où elle est chargée de la garde et de l’entretien de la place. La 10° batterie, quant à elle, est dissoute en mai pour être transformée en une compagnie d’ouvriers d’artillerie rattachée au 13° Régiment d’Artillerie. Pendant cette période, des écoles de feu pour les canons de 120 et 155 sont organisées au camp d’Oberhoffen (Bas-Rhin).
En juin 1920, le drapeau du régiment est transmis au Parc d’Artillerie de Vincennes. Cette opération permet d’y faire broder le numéro 155 ainsi que d’inscrire les batailles auxquelles le 5° RAP a pris part durant la guerre de 1914-1918.
Au cours de l’année 1921, le régiment subit plusieurs réorganisations. À la fin de l’année, il se compose comme suit:
État-major (EM) et (PHR) :
Casernement à Strasbourg, Quartier Grand d’Esnon.
1° Groupe :
Composé des 1° et 2° batteries.
Casernement à Strasbourg, Quartier Grand d’Esnon et Rousseau.
2° Groupe :
Composé des 4° et 5° batteries.
Casernement à Strasbourg, Quartier Rousseau.
3° Groupe :
Composé des 7°, 8° et 9° batteries.
Casernement à Strasbourg, Quartier Vauban.
En 1924, le Lcl BOY prend le commandement du régiment, succédant au Col WASSER parti à la retraite. Cette année-là, les écoles de feu se déroulent au camp de Tahure (Marne).
Le 21 janvier 1925, la 21° batterie de DCA du 12° RAP, basée à Haguenau, est rattachée au 155° RAP/ Elle forme la 22° batterie de DCA et devient avec la 21° batterie de DCA, un groupe DCA intégré au régiment.
Le 2 mars 1925, le Lcl KARCHER prend le commandement par intérim du régiment.
En septembre 1927, le Lcl BOY est promu colonel et affecté au 196° Régiment d’Artillerie à Bordeaux. Cependant, il reprend la direction du 155° RAP le 25 septembre 1928, avec le Lcl GIRARD pour second à partir du 25 décembre de la même année.
En octobre 1928, le drapeau du régiment est remplacé par un étendard.
Le 1 juin 1929, les unités de garnison stationnées à Strasbourg quittent leurs casernements pour s’installer ensemble au quartier Lizé Sud, situé à Starsbourg-Neudorf.
Le 21 juin 1930, le Lcl GROLLEMUND prend le commandement par intérim du régiment, à la suite de la nomination du Col BOY au poste de commandant de l’artillerie de la place de Strasbourg. En septembre de la même année, le Lcl GROLLEMUND est promu colonel.
En 1931, le ministre de la Guerre désigne la 1° batterie comme unité de tradition de l’ancien 6° Régiment d’Artillerie à Pied. À cette occasion, elle reçoit l’emblème de ce régiment, renforçant ainsi le lien avec son héritage historique.
Le 15 avril 1933, le 155° Régiment d’Artillerie à Pied est réorganisé. Sous le commandement du colonel GROLLEMUND et du lieutenant-colonel PRESTAT, il se compose comme suit:
État-major (EM) et PHR :
Stationnés au quartier Dahlmann, à Haguenau.
1° Groupe :
Composé des 1°, 2° et 3° batteries
Stationné au quartier Lizé Sud, à Strasbourg.
2° Groupe :
Composé des 4°, 5° et 6° batteries
Stationné au quartier Dahlmann, à Haguenau.
3° Groupe :
Composé des 7°, 8° et 9° batteries
Stationné au quartier Dahlmann, à Haguenau.
4° Groupe :
Composé des 10°, 11° et 12° batteries
Stationné à BELFORT, réparti entre le fort de la Justice et le quartier Béchaud.
5° Groupe :*
Composé des 14° et 15° batteries, armées de canons de 75 automoteurs.
Stationné au quartier Gérôme, à Sarrebourg.
6° Groupe :*
Composé des 16° et 17° batteries, armées de canons de 75 automoteurs.
Stationné au quartier Gérôme, à Sarrebourg.
7° Groupe :*
Composé des 18° et 20° batteries, armées de canons de 155 C porté.
Stationné au quartier Dessirier, à Sarrebourg.
Dès 1934, les différentes inspections réalisées auprès du 155° RAP révèlent des insuffisances de moyens et un manque d’efficience dans son organisation.
À partir du 15 mars 1936, le 155° RAP subit une nouvelle réorganisation visant à regrouper l'artillerie d'ouvrage dans des groupes spécifiques. Il est alors composé de 7 batteries de position comptant 125 hommes chacunes et de 4 batteries d'ouvrage en comptant 175.
Son effectif théorique est de 75 officiers, 265 sous-officiers et 1375 hommes du rang.
Le 1° Groupe stationné à Strasbourg regroupe l'artillerie de position du SF Bas-Rhin.
Il est composé de 3 batteries (1°, 2° et 3° batteries)
Le 2° Groupe, stationné dans le camp de sureté de Drachenbronn , regroupe l'artillerie des ouvrages du SF Haguenau (Ouvrage du Hochwald Hochwald , du Four à Chaux , de Schoenenbourg et l' observatoire de Hatten ).
Il est composé de deux batteries (4° et 5° batteries)
Le 3° Groupe stationné à Bitche regroupe l'artillerie des ouvrages du SF Vosges (Ouvrages du Schiesseck , de l' Otterbiel et du groupement Hohékirkel .
Il est composé de deux batteries, l'une d'entre elle devant être transférée ultérieurement dans le camp de sureté du Légeret.
Le 4° Groupe stationné à Haguenau regroupe l'artillerie de position du SF Haguenau.
Il compte quatre batteries (10°, 11°, 12° et 13° batteries)
Les 1° et 6° groupes forment le Groupement d’Artillerie du Bas-Rhin (GABR).
Le 2° groupe forme le Groupement d’Artillerie de Forteresse de la Lauter (GAFL).
Le 3° groupe forme le Groupement d’Artillerie de Forteresse des Vosges (GAFV).
Les 4° et 5° groupes composent l’Artillerie de la Région Fortifiée des Vosges (ARFL).
Etat Major
PC à Haguenau
- Chef de corps : Col PRESTAT
- Adjoint du Colonel : Cne SABATIER
- Trésorier : Cne PATAT
- Chargé du matériel : Lt GOURNAY
- Instruction : Cne DUMAS
- Direction du parc : Cne JOLY
- Transmission : Cne RIQUET
- Réglage et Observation : Slt GROSS
- Médecin : Cdt VILLAIN
1° Groupe *
stationné à Strasbourg
Cne RICHEZ
- 1° batterie : Lt DUQESNE
- 2° batterie : Lt FORESTIER
2° Groupe
stationné à Drachenbronn :
- Cne RODOLPHE
- 4° batterie : Cne FAURE
- 5° batterie : Cne CORTASSE
3° Groupe
stationné à Bitche
- Commandement : Cne BOURVON
4° Groupe
stationné à Haguenau :
- Commandant : Cne LECOMTE
- 10° batterie : Cne AUBERT
- 11° batterie : Cne de ROCHAS D’AIGLUN
5° Groupe
stationné à Haguenau :
- Commandant : Cne CORNE
- 12° batterie : Cne SARRE
- 13° batterie : Cne BARTHE
6° Groupe *
stationné à Strasbourg
Cne MAITRE
- 16° batterie : Cne MALTRET
- 17° batterie : Cne CARTHIEUX
Le 28 août 1939, le 155° RAP de paix se détriple et donne naissance aux 155°, 156° et 168° RAP du temps de guerre.
Le 155° RAP du temps de guerre est mis sur pied à Strasbourg par le CMA 60. Il est affecté au Secteur Fortifié du Bas-Rhin (SFBR) et occupe les positions de ce secteur ainsi que la forteresse de Mutzig. Le LtCol AGABRIEL en prend le commandement.
Le régiment est alors doté de 67 pièces d'artillerie, ce chiffre ne tenant pas compte de l'armement spécifique des ouvrages servis par les batteries du régiment ni de deux batteries de 120 C en réserve.
Le déploiement du régiment en temps de guerre rencontre certaines difficultés liées aux conditions difficiles de leurs installations, mais aussi à l'incorporation au sein du 155° RAP de mobilisés ayant une "mentalité trop civile". En effet, une unité du groupe de la S.T.H. comprend 70 % d'Alsaciens vivant dans un rayon de 20 à 25 km de leur stationnement.
De plus, les différentes visites d'inspection révèlent des insuffisances dans les dotations des troupes (couvertures, habillement) ainsi qu'en matériel (état médiocre du parc automobile alloué).
Les premiers mois de guerre sont principalement consacrés à l'instruction des troupes, notamment du personnel affecté à la défense du fort de Mutzig.
L'action de l'encadrement permet, au bout des quatre premiers mois de campagne, d'améliorer les conditions de vie de la troupe et, comme le souligne une note du Cne RENAUX de décembre 1939, de disposer d'une troupe dans un bon état d'esprit.
En mars 1940, la dissolution du Secteur Fortifié du Bas-Rhin et la création de la 103° Division d’Infanterie de Forteresse (103° DIF), à laquelle le 155° RAP sera affecté, entraînent une nouvelle réorganisation du régiment qui compte désormais 9 batteries. Le 4°Groupe est dissous et affecté à la réserve générale.
Etat Major
- Chef de Corps : Lcl AGABRIEL – PC Fort Pétain
- Adjoint : Cne BABEL
1° Groupe
Sous-secteur d'Herrlisheim - PC Fort Pétain
CE MICHEL
- 1° batterie - 6 pièces de 155L modèle 1877 – Cne LAFITTE
- 2° batterie - 6 pièces de 155L modèle 1877 – Cne SCHAEFFER
- 1 SHT – Cne MOUTON
2° Groupe
Sous-secteur de Strasbourg ou Centre
PC au Neudorf
Cne Hubert MAITRE
- 4° batterie - 8 pièces de 75 mle 1897 – Lt NEFF
- 5° batterie - 8 pièces de 155 L mle 1916 – Cne SOUSSELIER
- 6° batterie - 9 pièces de 150T – Lt HALIEUX
- 7° batterie - 8 pièces de 75 mle 1897 – Cne CARTHIEUX
- Batterie de 10 cm KiSL allemande de l' ouvrage Ney-Rapp (2 pièces)
3° Groupe
Sous-secteur d'Erstein ou Sud
PC à Erstein
Cne RENAUX
- 8° batterie - 8 pièces de 145/155 L mle 1916 ( fort Joffre et ouvrage Joffre/Lefebvre ) – Cne GUTHAPFEL
- 9° batterie - 9 pièces de 150T – Lt MAGET
- Batterie de 10 cm KiSL allemande annexe au fort Uhrich (3 pièces)
111° Batterie (Instruction)
La batterie reste au fort de Mutzig
Eléments d'action d'ensemble
Initialement dépendant directement de l’AD du SFBR, ces éléments sont ensuite rattachés au I/155° RAP
- Batterie cuirassée des Cerisiers (4 pièces de 10 cm TK allemandes sous tourelles)
- Batterie de 10 cm KiSL du polygone de Kronenbourg (2 pièces)
- Deux sections de 75 en casemates allemandes au fort Ducrot
Autres unités rattachées :
- Parc d'Artillerie 710 (PAD 710) : Cne Pierre de JOLY
- 148° Cie d'Ouvriers d'Artillerie (PAD 148)
- Section de Transport Auto Régimentaire (STAR) stationnée à Holtzheim
Comme pour l’ensemble des troupes du front nord-est, la période allant de septembre 1939 à mai 1940 est marquée par une grande tranquillité sur le plan militaire. En dehors des actions des corps-francs, l'activité du régiment se résume principalement à l'instruction des la troupe et aux travaux défensifs.
À partir du 10 mai et de l’invasion allemande, le front s'anime.
Le 14 mai , les ponts routiers et ferroviaires de KehlL sont détruits respectivement à 18h33 et 18h36.
Dans la nuit du 15 au 16 mai, deux batteries de 75 du III/155° RAP ont l’honneur d'ouvrir le feu pour la première fois sur les positions ennemies sur la rive droite, en exécution de tirs de contre-préparation. L’activité de bombardement se généralise rapidement sur l’ensemble du front. Les batteries mobiles participent également chaque jour à des tirs d’harcèlement, en ouvrant le feu sur les mouvements observés côté allemand. Les consommations journalières varient entre 50 et 100 coups par secteur.
Malheureusement, la situation au niveau national se dégrade rapidement.
Le 15 mai, les Allemands percent à Sedan et Dinant, et dans les jours qui suivent, ils entament leur marche vers la mer, visant à encercler les troupes alliées du nord.
Malgré la détermination de certaines unités françaises, les contre-attaques ne parviennent pas à stopper l’avance allemande.
Après les combats de la poche de Dunkerque, la ligne de la Somme est franchie et, fin mai, les troupes allemandes concentrent leurs efforts vers l’Est, menaçant de prendre la Ligne Maginot à revers.
La réorganisation des armées françaises et la création de nouveaux groupes d'armées conduisent, entre le 1er et le 12 juin, à un repli des troupes de couverture de la Ligne Maginot.
Le 10 juin, la 3° batterie, attachée à la forteresse de Mutzig, est mise à disposition du 3° groupe avec des 75T pour occuper le secteur d’Erstein.
Entre le 1er et le 12 juin, les unités non organiquement rattachées à la 103° DIF sont évacuées du front.
Le 155° RAP devient l’unique artillerie restante de la 103° DIF et procède à la réorganisation de ses positions.
Le 12 juin au soir, l’état-major de la 5° Armée informe le commandant de la 103° DIF qu’il devra se replier dès le lendemain soir. À 19h, le Lcl AGABRIEL est convoqué par le Gal VALLEE, qui l'informe que tous les éléments du 155° RAP susceptibles d’être déplacés seront retirés du front. Il est également ordonné d’établir un plan d’embarquement pour les matériels des secteurs de Strasbourg et d’Erstein, prévoyant cinq gares d’embarquement : Hausbergen, Graffenstaden, Lingolsheim, Erstein et Benfeld.
Le 13 juin, en fin de matinée, le Lcl AGABRIEL reçoit l'ordre de préparer le transport de la plus grande quantité possible de munitions. Les pièces du 155° RAP étant dépourvues de caissons de munitions, leur transport avec les pièces s'avère impossible. Il est également décidé que le 1° groupe et l'EM resteront sur le secteur du Rhin, tandis que seuls le 2° et le 3° groupes, ainsi que la section STAR, effectueront leur mouvement de repli.
Sur le secteur de Strasbourg, où le 1° groupe reste stationné, le Cne MICHEL forme deux groupes d'appui :
Sous-secteur Nord (Commandant : Cne SCHAEFFER) :
3 pièces à l’ouest de la cour d’Angleterre (Cne SCHAEFFER)
3 pièces à la briqueterie de Souffelweyersheim (Lt BOYER)
4° batterie, avec 4 pièces de 105 L, servant à la 5° batterie cuirassée des Cerisiers (Lt NEFF)
2 pièces de 10 TK à l’ouvrage Ney-Rapp (5° batterie, Lt STUTZMANN)
3 pièces à la Maison Forestière du Bois de la Ganzau (Lt PAILLARD)
3 pièces à Ostwald (Cne MOUTON)
4 pièces de 10 TK de la 8° batterie au Fort Uhrich (Lt STENGER et Slt ARDANT)
8 pièces de 145
20 pièces de 75
5 pièces de 150 T
30 attelages
2 tracteurs
Toutes les culasses ont été noyées dans les puits de la forteresse.
Le matériel électrique, assurant l’éclairage, la ventilation et l’alimentation en eau, a été détruit.
Le réseau téléphonique est endommagé.
Tous les plans de feu et la documentation de défense de la place ont été brûlés.
Les éléments du 3° groupe du 155° RAP.
La 111° batterie d’instruction.
Le détachement du génie.
De deux pièces de 120 de la 6° batterie, positionnées au carrefour des routes allant de la batterie à la caserne n°3.
De 6 pièces de 150 T au nord de la porte de Mutzig, de la 4° batterie.
De 4 pièces de 75 T au sud, pour battre les abords de Molsheim et la route d’Avolsheim, de la 4° batterie.
8 pièces de 75 du 2° groupe sont mises en batterie sur le plateau de la Vierge, sous les ordres du Lt Villard.
2 pièces de 75 du 2° groupe sont en batterie au nord du village de Dogneville, sous les ordres du Lt Mensburger.
10 autres pièces sont stationnées à la lisière sud-ouest du bois de la Voivire, pour frapper les abords du pont de Golbey.
Les 12 pièces du 3°groupe sont positionnées en deux lignes anti-chars : la première ligne entre Dogneville et Golbey, la deuxième entre Villoncourt et Deyvillers.
Emmanuel Horny
Wikimaginot.eu
ATF 40,
Hommes et histoire de la ligne Maginot
SHD Carton 34 N 619 :
- Lcl Prestat – Historique du 155°RAP 1919-1934 du 15/12/1934
- Lcl AGABRIEL – Marches et opérations du 155°RAP mai-juin 1940 du 01/09/1942
- Gal CARENCE – Anomalies sur les moyens et ressources du 07/01/1937
- Lt COISSARD – Extrait du Carnet de détail du 4°Groupe