La plaquette de freinage aérodynamique, dite " Malandrin " (du nom de son officier inventeur) pouvait être fixée sur l'ogive d'un projectile et permettait de tirer sur des objectifs défilés en modifiant la courbure de la trajectoire et en diminuant la portée.
Trois modèles existaient :
- la plaquette P de 68 mm de diamètre (étamée), - la plaquette L de 58 mm de diamètre (peinte en noir), - et la plaquette M de 62 mm de diamètre (peinte en rouge).
Mais leur efficacité restait limitée car la précision du tir était alors trop aléatoire pour atteindre efficacement les objectifs. (1)
Ce type de dispositif a clairement été utilisé, au moins dans certains ouvrages de la ligne Maginot. Des exemplaires ont été retrouvés notamment au FERMONT. Sans confirmation complémentaire à date, il est possible que ces plaquettes aient été introduites en substitution des obus explosifs à charges divisibles qui étaient envisagés officiellement jusqu'en 1935-36.
Source : (1) information fournie par Eric Klamerek
Trouvées dans le M1 du FERMONT Auteur : Eric Klamerek Eric Klamerek
Trouvées dans le M1 du FERMONT Auteur : Eric Klamerek Eric Klamerek
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Eric Klamerek - Eric Klamerek
Plaquettes MALANDRIN
Trouvées dans le M1 du FERMONT
Auteur : Eric Klamerek - Provenance : Eric Klamerek
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Photo n° 72549 - Taille écran 945 x 800 pixels Prise le 18 sept. 2012 - Déposée le 04/12/2018