Ligne Maginot - 165° Régiment d'Artillerie de Position



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165° Régiment d'Artillerie de Position

(165° RAP)






Le 165° Régiment d’Artillerie de Position est formé le 23 août 1939. Sa mission principale est la défense de la ville de Metz de la Moselle aux Etangs.


165° Régiment d'Artillerie de Position (165° RAP)

Insigne du 165° RAP réalisé par le graveur-éditeur Serge Planchot. La croix de Lorraine en rouge ainsi que le blanc et le noir, rappellent l’appartenance du régiment à la ville de Metz.
l est livré à partir d’avril 1940 aux artilleurs du 165° RAP



Le 165° RAP possède son propre journal régimentaire intitulé « Le pied lourd », dont le premier numéro paraît le 1er octobre 1939. Il est fondé par le capitaine Dechancé Albert1 dont l’anagramme est Tancrède Chabel.


Chefs de corps :

  • Lieutenant-colonel Humbert (24 août 1939 – 29 janvier 1940)

  • Chef d’escadron Poiget (commandant par interim)

  • Lieutenant-colonel Lambert (2 février 1940 – juin 1940)



Mobilisation :

24 août 1939
Nouvellement formé par le centre mobilisateur d’artillerie N°46, à partir 4° groupe du 163° RAP, le 165° RAP s'installe quartier Serret à Châtel Saint Germain (Moselle).

27 août 1939
Les premiers réservistes de l’échelon B commencent à affluer. Dans le même temps les groupes, batteries et autres sections sont mises sur pied.

28 août 1939
Les premiers chevaux et véhicules motorisés provenant des réquisitions arrivent pour équiper les STH (Sections de Transport Hippomobile) et STA (Section de Transport Automobile).

29 août 1939
Le 165° RAP reçoit l’ordre d’occuper les fortifications de Metz. Cela concerne les groupes fortifiés de l’Aisne, Driant, Marne, Verdun et l’Yser pour les batteries de forteresse et le fort Queuleu pour l’EM. Il faut ajouter à cela les villages proches de la position pour les batteries dites à « l’air libre ».

1 septembre 1939
Le régiment entier s’active, les champs de tirs sont dégagés, les premières lignes téléphoniques posées, les hommes s’installent sur leur positions, mise en place d’observatoires et des batteries constituées de canons de 75mm anti-char. A cela s’ajoute la mise en place des réservistes de l’échelon C.

2 septembre 1939
Arrivée du 1° groupe du 160° RAP, placé sous les ordres du lieutenant-colonel Humbert.

3 septembre 1939
Déclaration de guerre.



Composition et encadrement :

En septembre 1939, le 165° RAP est composé d’un État-major, et d’une Section de Transport Automobile. A cela s’ajoutent 3 groupes, eux-mêmes composés d’un état-major, de 3 batteries et d’une Section de Transport Hippomobile. En outre, le 165° RAP est renforcé par le 1° groupe du 160° RAP.
L’encadrement du 165° RAP en septembre 1939 est le suivant :


Etat-Major :

Fort de Queuleu – Caserne 1
Commandant le régiment : Lieutenant-Colonel (A) Humbert Georges
Adjoint : Capitaine (R) Waline Pierre
X : Lieutenant (R) Villatte Jean
X : Lieutenant (R) Dorlodot des Essarts Guy
X : Lieutenant (R) Andrès Raymond
X : Lieutenant (R) Emas-Jarousseau Jean
X : Lieutenant Sunnen
X : Lieutenant (R) Wimbée André
Médecin : Médecin-capitaine Meyer


1° Groupe :

Etat-Major :

Groupe fortifié de l’Yser
Commandant le groupe : Chef d’escadron (A) Hery
Adjoint : Capitaine Labbee
X : Lieutenant Penaud
X : Lieutenant Dupuy
X : Lieutenant (R) Desecures Paul
X : Lieutenant Asparre
Observations et réglages : Lieutenant (R) Boursier Emile
Observations et réglages : Lieutenant (R) Weil Pierre
X : Lieutenant Le Menestrel
X : Lieutenant Martin Marcel
X : Sous-lieutenant Voinot
Médecin : Médecin-lieutenant (R) Abaza Alphonse


1° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine (R) Mathiot Georges
X : Lieutenant (R) Schwob Georges
X : Lieutenant (R) Gourcerol Jean
X : Lieutenant (R) Pamelard Henri
X : Sous-lieutenant (A) Hector Edmond


2° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine Bousson
X : Lieutenant (A) Lhopiteau Jacques
X : Lieutenant (A) Joly Adrien
X : Lieutenant (R) Maret André


3° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine (R) Dagousset Edmond
X : Lieutenant (R) Thevin Robert
X : Lieutenant Tanneur
X : Lieutenant (R) Michel Jean
X : Sous-lieutenant (A) Jobard Robert


Section Transport Hippomobile 1 :

Lieutenant (R) Tetrel



2° Groupe :

Etat-Major :

Groupe fortifié de la Marne
Commandant le groupe : Chef d’escadron (A) Rébière Octave
Adjoint : Capitaine Dechance
X : Lieutenant (R) Duflot Emile
X : Lieutenant (R) Percepied André
X : Lieutenant (R) Pochet Robert
Officier des transmissions : Lieutenant (R) Wormser Joseph
Officier des détails : Lieutenant (R) Rousset Lucien
X : Sous-lieutenant (A) Quey Fernand
Médecin : Médecin-lieutenant (R) Schmitt Léon


4° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine (A) Mougin Léon
X : Lieutenant (R) Foret Charles
X : Lieutenant (R) Duchatelle André
X : Lieutenant (R) Mayeur René


5° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine (R) Maurice Georges
X : Lieutenant (R) Blanc Eugène
X : Lieutenant (A) Martin André
X : Lieutenant (R) Thauvin Marc
X : Lieutenant (A) Grenet François


6° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine Faillie
X : Lieutenant Lambert
X : Lieutenant (A) Rumeau
X : Lieutenant (R) Dorrizi Max
X : Lieutenant (R) De Demo Marcelin


Section Transport Hippomobile 2 :

Lieutenant Mattey


3° Groupe :

Etat-Major :

Groupe fortifié Driant
Commandant le groupe : Chef d’escadron (R) Poiget René
Adjoint : Capitaine (R) Raffalli
X : Lieutenant Baudier
X : Lieutenant (R) Ducru
X : Lieutenant (R) Garaud Gabriel
X : Lieutenant (R) Verrier Paul
X : Lieutenant (R) Fourcade Marcel
X : Lieutenant Nithart
X : Lieutenant (R) Noël Maurice
X : Lieutenant (R) Jamet Anatole
Médecin : Médecin sous-lieutenant (R) Lombard Marcel


7° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine (R) Ruby Pierre
X : Lieutenant (R) Regnault Michel
X : Lieutenant (A) Alandry
X : Lieutenant (R) Verkindere André
X : Lieutenant Oulmann


8° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine Peres
X : Lieutenant Brasseur
X : Lieutenant (R) Valeur Charles
X : Lieutenant (R) Bazin Armand
X : Lieutenant (R) Ehard Charles


9° Batterie :

Commandant la batterie : Capitaine Chaumette
X : Lieutenant (R) Deruelle Désiré
X : Lieutenant (R) Gerardin Fernand
X : Lieutenant Alexandre


Section Transport Hippomobile 3 :

Lieutenant Delprat



Historique

3 septembre 1939 Déclaration de guerre, et début de l’étude de la constitution de deux groupes de matériels de 220mm et 280mm.

De septembre 1939 à mai 1940, les activités du 165° RAP sont principalement absorbées par l’organisation et le renforcement de la position à défendre, et de manœuvres et d’instructions sur toutes les pièces des différentes batteries.

13 septembre 1939
Sur ordre du général commandant l’artillerie de la III° armée, douze matériels de 220mm et huit de 280mm sont livrés au 165° RAP. Ils sont principalement destinés au premier groupe (220mm) et au troisième groupe (280mm).Ces matériels proviennent de Clermont-Ferrand et Vincennes. L’instruction des hommes à ce matériel débute aussitôt, afin d’être prêt au combat pour le 15 octobre 1939.

14 septembre 1939
Un inventaire est dressé après réception des pièces de 220 et 280 mm et il manque beaucoup d’accessoires. Pour les matériels de 220 par exemple, il manque les appareils de pointage.

20 septembre 1939 :
Le 196° RAL de passage près de Metz, participe à la formation des hommes du 165° RAP au service des pièces de 220 et de 280.

Début octobre 1939,
le 165° RAP est organisé comme suit :
EM et STA : Fort de Queuleu
I/165° RAP : EM, 1° et 2° batteries : Groupe fortifié de l’Yser; 3° batterie : Ouvrage de Chesny-Sud; STH 1 : Pouilly
II/165° RAP : -EM et 4° batterie : Groupe fortifié de la Marne; 5° batterie : Flanville et Saint-Agnan; 6° batterie : Retonfey et Gras; STH 2 : Grigy
III/165° RAP : -EM et 7° batterie : Groupe fortifié Driant; 8° batterie : Groupe fortifié de Verdun (Sommy et Saint-Blaise); 9° batterie : Grigy; STH 3 : Ferme d’Orly

Le I/160° RAP est quant à lui cantonné au groupe fortifié de Lorraine et au fort de Plappeville.

Toujours au début du mois d’octobre 1939, une étude est débutée sur la mise en place de deux batteries de deux matériels de 370mm par le II/165° RAP. La formation et les premiers essais de ces matériels sont lancés à la 4° batterie pour 5 semaines. Dans le même temps, l’étude de la protection Z des groupes fortifiés est lancée.

Au milieu du mois de décembre 1939, une seconde position de défense commence à être pensée par le commandement 3. Dans ce cadre, le 165° RAP doit s’occuper d’étudier et réaliser le réseau de liaison téléphonique à l’aide des boîtes de coupures allemandes.

Fin décembre 1939
Trois groupements sont proposés au 165° RAP pour cette seconde position de défense :

  • Groupement A : II/165° RAP avec 6 batteries de pièces de 120mm.

  • Groupement B : I/165° RAP aux groupes fortifiés l’Aisne, de la Marne et de l’Yser.

  • Groupement C :

    • Sous groupement C1 : 7° et 8° batteries du III/165° RAP aux groupes fortifiés Jeanne d’Arc et Driant (Sommy et Saint-Blaise).

    • Sous groupement C2 : 9° du III/165° RAP batterie aux groupes fortifiés de Guise, Lorraine ainsi que le fort de Plappeville.


24 et 25 décembre 1939 :
Pour toutes les unités au repos, l’ordinaire est amélioré et des soirées récréatives ont lieu. Au fort de Queuleu les festivités se font en collaboration du 68e Régiment Régional, avec la présence du général Le Bleu. Dans toutes les chapelles des cantonnements et fortifications, des messes de minuit ont lieu.

14 janvier 1940 :
A 21h30, un ordre arrive de la III° armée, le 165° RAP doit se mettre en alerte. Les trois groupes ont ordre de se mettre en dispositif d’alerte, de prendre des mesures pour la défense contre les avions, et de camoufler tout ce qui est possible aux vues aériennes. La journée les mouvements sont également interdits, sauf pour les facteurs et de petites colonnes de véhicules. Les 12 pièces de 75mm et les munitions (3400 coups) sont dirigées aux forts de Sainte-Barbe et Saint-Julien.

15 janvier 1940
Le 165° RAP est renforcé par deux compagnies du 68° RR et trois compagnies du 162° RIF. Ces éléments d’infanterie doivent protéger les pièces de 75mm face à des attaques d’avions volant à basse altitude. Les batteries de 120L du II/165° RAP ainsi que les batteries des groupes fortifiés, doivent exécuter des tirs d’arrêts en avant de LPR en cas de besoin. Le 15 au soir, seulement une partie des munitions et des canons de 75mm placés en anti-char sont en places du fait des conditions météorologiques.

18 janvier 1940
L’ordre d’alerte est levé, les différentes batteries du 165° RAP regagnent leurs positions d’avant l’alerte.

29 janvier 1940
Le lieutenant-colonel Humbert commandant le régiment, fait ses adieux. Le chef d’escadron Poiget lui succède provisoirement.

2 février 1940
Le chef d’escadron Lambert en provenance du 142° RA prend le commandement du 165° RAP.

2 avril 1940
Le chef d’escadron Lambert est promu lieutenant-colonel.

15 avril 1940
L’effectif du 165° RAP se porte à 1452 hommes de troupe, 167 sous-officiers et 76 officiers. Sont également présents 274 chevaux.

10 mai 1940
Déclenchement de l’offensive allemande, les positions du 165° RAP sont survolées par l’aviation allemande. Dans la matinée au groupe fortifié Driant, une quinzaine de bombes incendiaires tombent, sans qu’elles ne provoquent des dégâts

Mi-mai 1940
L’occupation plus poussée des fortifications ex-allemandes est étudiée. Le personnel instruit au service de ces fortifications doit être renforcé.

4 juin 1940
L’étude précédemment citée est terminée, il faut 250 hommes et 27 sous-officiers pour renforcer le personnel en place dans les différents groupes fortifiés occupés par le 165° RAP.

13 juin 1940
A 16h, le lieutenant-colonel Lambert apprend que la place de Metz ne doit pas être défendue et que le régiment doit quitter ses positions. Un faible noyau de personnel qualifié doit rester dans les groupes fortifiés afin de mettre hors d’usage les pièces d’artillerie.

14 juin 1940
A 16h, les pièces d’artillerie ainsi que le matériel téléphonique des groupes fortifiés sont rendus hors d’usage.

15 juin 1940
Au matin, le régiment ne pouvant quitter la position de Metz par voie ferrée faute de rames disponibles, doit partir par ses propres moyens en direction du Sud et de Mirecourt. Dans la soirée il arrive près de Nancy, et cantonne à Heillecourt et Houdemont. La 7° batterie a réussi à atteindre la région de Bayon.

16 juin 1940
A 3h du matin, le régiment fait mouvement sur Poussay, situé non loin de Mirecourt dans les Vosges. La 7° batterie reçoit l’ordre de rester dans la région de Bayon. A partir de ce moment-là le 165° RAP perd tout contact avec cette batterie.
Une fois arrivée à Mirecourt, le lieutenant-colonel Lambert parvient à trouver une rame, et le régiment doit embarquer en gare de Hymont-Mattaincourt à 15h. Dans la traversée de Mirecourt pour accéder à cette gare, le lieutenant Rumeau et un canonnier de l’EM du III/165° RAP sont blessés par un bombardement aérien. Les trois STH sont rassemblées en une colonne hippomobile sous les ordres du lieutenant Deruelle. Elle doit partir en direction d’Epinal – Belfort – Dijon. Plusieurs colonnes automobiles sont également mises en place, et elles reçoivent l’ordre de se diriger vers Pontarlier.

17 juin 1940
L’ensemble du régiment sous les ordres du lieutenant-colonel Lambert reçoit l’ordre de se diriger sur Issoire dans le Puy-de-Dôme, point de rassemblement pour les unités de la III° armée. Les colonnes automobiles reçoivent l’ordre de se diriger sur Lyon.

18 juin 1940
Les différentes colonnes automobiles reçoivent l’ordre de se diriger soit à Issoire, Nîmes ou Oyonnax. De son côté la 7° batterie arrive dans le Secteur Fortifié du Jura, où le capitaine Mougin reçoit l’ordre du capitaine Manigard, commandant le sous-secteur NORD du SFJ, de se replier sur Morteau afin de participer à la défense de ce point d’appui. Vers 16h, lorsque la 7° batterie était sur le départ pour rejoindre Morteau, elle se fait surprendre par une colonne allemande arrivant dans son dos. Le lieutenant commandant cette colonne demande au capitaine Mougin la reddition de la batterie, et de les suivre jusque Pontarlier. Après de longues discussions, la colonne allemande repart et la 7° batterie reprend sa route.

19 juin 1940
Le 165° RAP reçoit l’ordre de se diriger sur Nîmes. Les colonnes automobiles se rejoignent à la Courtine vers 21h. Dans la nuit du 18 au 19 juin, la 7° batterie arrive à Morteau et se met de suite en état de défense. Le maire de Morteau demanda au capitaine Mougin de ne pas se battre, afin de protéger les femmes et les enfants.

20 juin 1940
Les différentes colonnes automobiles reçoivent l’ordre de se diriger sur Espaillon.

21 juin 1940
A 10h, le capitaine Mougin reçoit le commandement du quartier Morteau par décision capitaine Manigard. En plus de la 7° batterie composée de 7 officiers et 130 hommes, le capitaine Mougin à sous ses ordres des détachements des 170° RAP, 403° RADCA, 406° RP, 11° et 15° RG, ou encore du 61° RR. Ce détachement comprend au total 8 officiers, 450 hommes, 3 canons de 47mm, un de 105mm et une trentaine d’armes automatiques. Les hommes du génie forment des abattis et barrages. Plusieurs points d’appuis sont formés dans la foulée.

22 juin 1940
Un détachement de 3 officiers et 400 hommes commandé par le lieutenant Cousin se joint au détachement du capitaine Mougin pour la défense de Morteau.

23 juin 1940
Au matin dans un barrage tenu par la 7° batterie, une colonne motorisée allemande demande avec drapeau blanc demande à traverser la ville, en indiquant que l’armistice était signé. Après plusieurs discussions la colonne motorisée allemande est autorisée à traverser Morteau, à condition que le détachement français ne soit pas constitué prisonnier, demande qui fut acceptée par un officier allemand. Dans la soirée, les troupes françaises quittent Morteau et se dirigent en direction de la Suisse, où il traverse la frontière au col des Roches.

24 juin 1940
Les différentes colonnes automobiles gagnent Soual avec des éléments isolés du régiment.

25 juin 1940
Les traces des colonnes automobiles, hippomobiles et du reste du 165° RAP sont perdues faute d’archives.




1 - Le capitaine de réserve Dechancé Albert est en septembre 1939 l’adjoint à l’Etat-Major du 2e groupe, puis à partir d’avril 1940 l’adjoint à l’Etat-Major du 3e groupe.

2 - Pour l’ensemble de la campagne 1939-1940, il y a très peu d’informations dans les archives du 165° RAP sur le nombre et la répartition des pièces d’artillerie.

3 - Encore une fois, les archives du 165° RAP sont assez peu fournies concernant cette seconde ligne de défense. Cependant, il est fait mention de la réalisation d’un fossé anti-char par le 602° RP ainsi que de nouvelles positions pour les canons de 75mm du 165° RAP.



Rédaction :

Hugues Schibi





Sources et bibliographies :

SHD – Carton 34N630,
Hommes et Ouvrages de la Ligne Maginot Tome 2





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